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Petites-filles de Gaïa et d’Ouranos, Méduse et ses deux sœurs sont des divinités primordiales dans la mythologie grecque.
Méduse, la seule mortelle des trois, était une très belle jeune femme indépendante admirée de tous et, par association d’idées, symbole de vanité.
Un jour Poséidon, dieu des mers, l’aperçut, la kidnappa et la viola dans un temple dédié à Athéna. L’outrage étant terrible, Athéna ne pouvait laisser cet acte impuni. Cependant au lieu de punir Poséidon, Athéna maudit la Méduse. Elle transforma la jeune femme en monstre terrifiant au visage de sanglier, les yeux exorbités, la langue pendante entre ses crocs, et dans la chevelure, des serpents venimeux. Le regard de Méduse était tellement rempli de colère qu’il pétrifiait quiconque osait la regarder dans les yeux.
Est-ce la beauté et l’indépendance de Méduse qui provoquèrent son destin ? Est-elle responsable de son sort ? Mérite-t-elle d’avoir été transformée en monstre ? Car c’est bien à cause de sa beauté que Poséidon, l’entraîna dans le temple de la déesse Athéna et la viola.
Réduite désormais à sa monstruosité, punie d’avoir été trop belle, Méduse n’est plus une femme. Elle finira décapitée par le héros Persée, fils de Zeus, comme tant d’autres monstres.
La punition d’Athena est si injuste qu’elle fait de méduse une figure tragique. Car la déesse en choisissant de châtier la victime plutôt que le coupable se fait rivale et femme complice d’une société patriarcal. Mais peut-on réellement parler de rivalité féminine ou de jalousie pour caractériser la décision d’Athéna ?
Dans une société où tout passe par le regard de l’homme, on parle le plus souvent de rivalité féminine. Athéna n’aurait pas supporté de voir une femme plus belle qu’elle, profanant de surcroit son propre temple.
Mais Athéna, déesse de la sagesse, de la mesure et de l’intelligence, n’aurait elle pas seulement voulu protéger Méduse car finalement qu’a-t-elle fait exactement ?
Elle a transformé ses cheveux, alors symbole d’objet sexuel, en serpents. « Parmi tous ses attraits, ce qui charmait surtout les regards, c’était sa chevelure ». Méduse perd ainsi son pouvoir de séduction, mais aux yeux de qui ? Surtout aux yeux des hommes, ceux-là mêmes qui l’ont violée.
Elle a donné le pouvoir de changer en pierre quiconque croiserait son regard. C’est en réalité une arme terrible face au regard des hommes ! Elle devient intouchable et inaccessible. Ici, le regard de Méduse objective l’homme. Un pouvoir rêvé par bien des femmes, Athéna la première. Ce regard qui fige et immobilise peut aussi rappeler la pétrification, phénomène récurrent lors d’un viol : la victime est incapable de bouger, complètement à la merci de son agresseur. Athéna a peut-être voulu lui transmettre un pouvoir de vengeance.
En tout cas, Athéna n’a-t-elle pas simplement rendu la méduse puissante ?
Le pouvoir de Méduse est un véritable échange des rôles.
Athéna ne peut pas punir Poséidon directement, car ils sont tous les deux sur le même plan hiérarchique mais l’outrage ne pouvant rester impuni, elle aurait donc choisi de “punir” la victime, lui octroyant une protection face à la violence des hommes.
Après l’avoir décapitée, Persée apporte la tête de la Gorgone à Athéna. Celle-ci en fera son bouclier, protection parfaite puisque sa simple vue terrifie et repousse l’ennemi. Est-ce un juste retour des choses ? Méduse rejoint-elle celle qui l’a rendue puissante afin de la protéger ?
Tout au long de l’Histoire, Méduse a été représentée comme un monstre, le symbole du destin de la vaniteuse. C’est d’ailleurs grâce à un miroir que Persée parvient à la tuer. Au fond Méduse est-elle si différente de toutes les autres femmes de la mythologie ? Violées ou bafouées par les hommes, elles deviennent laides, monstrueuses, sanguinaires.
Peut-être faut-il simplement voir dans le regard terrifiant de la Méduse la colère d’une femme, victime d’un monde qui ne veut pas qu’elle soit LIBRE.
Petites-filles de Gaïa et d’Ouranos, Méduse et ses deux sœurs sont des divinités primordiales dans la mythologie grecque.
Méduse, la seule mortelle des trois, était une très belle jeune femme indépendante admirée de tous et, par association d’idées, symbole de vanité.
Un jour Poséidon, dieu des mers, l’aperçut, la kidnappa et la viola dans un temple dédié à Athéna. L’outrage étant terrible, Athéna ne pouvait laisser cet acte impuni. Cependant au lieu de punir Poséidon, Athéna maudit la Méduse. Elle transforma la jeune femme en monstre terrifiant au visage de sanglier, les yeux exorbités, la langue pendante entre ses crocs, et dans la chevelure, des serpents venimeux. Le regard de Méduse était tellement rempli de colère qu’il pétrifiait quiconque osait la regarder dans les yeux.
Est-ce la beauté et l’indépendance de Méduse qui provoquèrent son destin ? Est-elle responsable de son sort ? Mérite-t-elle d’avoir été transformée en monstre ? Car c’est bien à cause de sa beauté que Poséidon, l’entraîna dans le temple de la déesse Athéna et la viola.
Réduite désormais à sa monstruosité, punie d’avoir été trop belle, Méduse n’est plus une femme. Elle finira décapitée par le héros Persée, fils de Zeus, comme tant d’autres monstres.
La punition d’Athena est si injuste qu’elle fait de méduse une figure tragique. Car la déesse en choisissant de châtier la victime plutôt que le coupable se fait rivale et femme complice d’une société patriarcal. Mais peut-on réellement parler de rivalité féminine ou de jalousie pour caractériser la décision d’Athéna ?
Dans une société où tout passe par le regard de l’homme, on parle le plus souvent de rivalité féminine. Athéna n’aurait pas supporté de voir une femme plus belle qu’elle, profanant de surcroit son propre temple.
Mais Athéna, déesse de la sagesse, de la mesure et de l’intelligence, n’aurait elle pas seulement voulu protéger Méduse car finalement qu’a-t-elle fait exactement ?
Elle a transformé ses cheveux, alors symbole d’objet sexuel, en serpents. « Parmi tous ses attraits, ce qui charmait surtout les regards, c’était sa chevelure ». Méduse perd ainsi son pouvoir de séduction, mais aux yeux de qui ? Surtout aux yeux des hommes, ceux-là mêmes qui l’ont violée.
Elle a donné le pouvoir de changer en pierre quiconque croiserait son regard. C’est en réalité une arme terrible face au regard des hommes ! Elle devient intouchable et inaccessible. Ici, le regard de Méduse objective l’homme. Un pouvoir rêvé par bien des femmes, Athéna la première. Ce regard qui fige et immobilise peut aussi rappeler la pétrification, phénomène récurrent lors d’un viol : la victime est incapable de bouger, complètement à la merci de son agresseur. Athéna a peut-être voulu lui transmettre un pouvoir de vengeance.
En tout cas, Athéna n’a-t-elle pas simplement rendu la méduse puissante ?
Le pouvoir de Méduse est un véritable échange des rôles.
Athéna ne peut pas punir Poséidon directement, car ils sont tous les deux sur le même plan hiérarchique mais l’outrage ne pouvant rester impuni, elle aurait donc choisi de “punir” la victime, lui octroyant une protection face à la violence des hommes.
Après l’avoir décapitée, Persée apporte la tête de la Gorgone à Athéna. Celle-ci en fera son bouclier, protection parfaite puisque sa simple vue terrifie et repousse l’ennemi. Est-ce un juste retour des choses ? Méduse rejoint-elle celle qui l’a rendue puissante afin de la protéger ?
Tout au long de l’Histoire, Méduse a été représentée comme un monstre, le symbole du destin de la vaniteuse. C’est d’ailleurs grâce à un miroir que Persée parvient à la tuer. Au fond Méduse est-elle si différente de toutes les autres femmes de la mythologie ? Violées ou bafouées par les hommes, elles deviennent laides, monstrueuses, sanguinaires.
Peut-être faut-il simplement voir dans le regard terrifiant de la Méduse la colère d’une femme, victime d’un monde qui ne veut pas qu’elle soit LIBRE.
Petites-filles de Gaïa et d’Ouranos, Méduse et ses deux sœurs sont des divinités primordiales dans la mythologie grecque.
Méduse, la seule mortelle des trois, était une très belle jeune femme indépendante admirée de tous et, par association d’idées, symbole de vanité.
Un jour Poséidon, dieu des mers, l’aperçut, la kidnappa et la viola dans un temple dédié à Athéna. L’outrage étant terrible, Athéna ne pouvait laisser cet acte impuni. Cependant au lieu de punir Poséidon, Athéna maudit la Méduse. Elle transforma la jeune femme en monstre terrifiant au visage de sanglier, les yeux exorbités, la langue pendante entre ses crocs, et dans la chevelure, des serpents venimeux. Le regard de Méduse était tellement rempli de colère qu’il pétrifiait quiconque osait la regarder dans les yeux.
Est-ce la beauté et l’indépendance de Méduse qui provoquèrent son destin ? Est-elle responsable de son sort ? Mérite-t-elle d’avoir été transformée en monstre ? Car c’est bien à cause de sa beauté que Poséidon, l’entraîna dans le temple de la déesse Athéna et la viola.
Réduite désormais à sa monstruosité, punie d’avoir été trop belle, Méduse n’est plus une femme. Elle finira décapitée par le héros Persée, fils de Zeus, comme tant d’autres monstres.
La punition d’Athena est si injuste qu’elle fait de méduse une figure tragique. Car la déesse en choisissant de châtier la victime plutôt que le coupable se fait rivale et femme complice d’une société patriarcal. Mais peut-on réellement parler de rivalité féminine ou de jalousie pour caractériser la décision d’Athéna ?
Dans une société où tout passe par le regard de l’homme, on parle le plus souvent de rivalité féminine. Athéna n’aurait pas supporté de voir une femme plus belle qu’elle, profanant de surcroit son propre temple.
Mais Athéna, déesse de la sagesse, de la mesure et de l’intelligence, n’aurait elle pas seulement voulu protéger Méduse car finalement qu’a-t-elle fait exactement ?
Elle a transformé ses cheveux, alors symbole d’objet sexuel, en serpents. « Parmi tous ses attraits, ce qui charmait surtout les regards, c’était sa chevelure ». Méduse perd ainsi son pouvoir de séduction, mais aux yeux de qui ? Surtout aux yeux des hommes, ceux-là mêmes qui l’ont violée.
Elle a donné le pouvoir de changer en pierre quiconque croiserait son regard. C’est en réalité une arme terrible face au regard des hommes ! Elle devient intouchable et inaccessible. Ici, le regard de Méduse objective l’homme. Un pouvoir rêvé par bien des femmes, Athéna la première. Ce regard qui fige et immobilise peut aussi rappeler la pétrification, phénomène récurrent lors d’un viol : la victime est incapable de bouger, complètement à la merci de son agresseur. Athéna a peut-être voulu lui transmettre un pouvoir de vengeance.
En tout cas, Athéna n’a-t-elle pas simplement rendu la méduse puissante ?
Le pouvoir de Méduse est un véritable échange des rôles.
Athéna ne peut pas punir Poséidon directement, car ils sont tous les deux sur le même plan hiérarchique mais l’outrage ne pouvant rester impuni, elle aurait donc choisi de “punir” la victime, lui octroyant une protection face à la violence des hommes.
Après l’avoir décapitée, Persée apporte la tête de la Gorgone à Athéna. Celle-ci en fera son bouclier, protection parfaite puisque sa simple vue terrifie et repousse l’ennemi. Est-ce un juste retour des choses ? Méduse rejoint-elle celle qui l’a rendue puissante afin de la protéger ?
Tout au long de l’Histoire, Méduse a été représentée comme un monstre, le symbole du destin de la vaniteuse. C’est d’ailleurs grâce à un miroir que Persée parvient à la tuer. Au fond Méduse est-elle si différente de toutes les autres femmes de la mythologie ? Violées ou bafouées par les hommes, elles deviennent laides, monstrueuses, sanguinaires.
Peut-être faut-il simplement voir dans le regard terrifiant de la Méduse la colère d’une femme, victime d’un monde qui ne veut pas qu’elle soit LIBRE.
Je me présente, je suis Julie créatrice de la marque KUCO.
Je suis graphiste depuis plus de 10 ans et illustratrice depuis quelques années maintenant. J’ai créer KUCO en 2020.
L’idée est partie du constat que nous avions peu de modèles féminins. Non pas parce que ces femmes n'existe pas, mais bien parce que la plupart des femmes qui ont marquées l'histoire en ont été effacées.
Je voulais raconter des histoires.
À l'origine, je recherchais un concept graphique reconnaissable pour mettre en avant ces femmes dans la rue. C’est naturellement que je me suis tournée vers les T-shirts.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers des produits écologique & éthique, ce qui est un point important pour moi.
Je me présente, je suis Julie créatrice de la marque KUCO.
Je suis graphiste depuis plus de 10 ans et illustratrice depuis quelques années maintenant. J’ai créer KUCO en 2020.
L’idée est partie du constat que nous avions peu de modèles féminins. Non pas parce que ces femmes n'existe pas, mais bien parce que la plupart des femmes qui ont marquées l'histoire en ont été effacées.
Je voulais raconter des histoires.
À l'origine, je recherchais un concept graphique reconnaissable pour mettre en avant ces femmes dans la rue. C’est naturellement que je me suis tournée vers les T-shirts.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers des produits écologique & éthique, ce qui est un point important pour moi.
N'hésitez pas à me suivre.
Je me présente, je suis Julie créatrice de la marque KUCO.
Je suis graphiste depuis plus de 10 ans et illustratrice depuis quelques années maintenant. J’ai créer KUCO en 2020.
L’idée est partie du constat que nous avions peu de modèles féminins. Non pas parce que ces femmes n'existe pas, mais bien parce que la plupart des femmes qui ont marquées l'histoire en ont été effacées.
Je voulais raconter des histoires.
À l'origine, je recherchais un concept graphique reconnaissable pour mettre en avant ces femmes dans la rue. C’est naturellement que je me suis tournée vers les T-shirts.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers des produits écologique & éthique, ce qui est un point important pour moi.
N'hésitez pas à me suivre.
OLYMPE DE GOUGE
S
Née le 7 mai 1748 d’Anne Mouisset, Marie Gouze est déclarée fille de Pierre Gouze, boucher, bien que la rumeur fasse d’elle la fille adultérine du marquis Jean-Jacques Lefranc de Pompignan.
A 18 ans, Olympe est mariée à un Louis-Yves Aubry, un traiteur parisien sans doute client important de la boucherie familiale, dont elle a rapidement un fils, Pierre. Louis-Yves décède peu de temps après et Olympe, peu convaincue par cette expérience matrimoniale, ne se remariera jamais.
Avec son fils, elle part rejoindre une sœur à Paris ; elle y fait donner à Pierre une éducation soignée et adopte le nom d’ « Olympe de Gouges ». Elle rencontre un haut fonctionnaire de la marine, Jacques Biétrix de Rozières, avec qui elle a une liaison qui dure jusqu’à la Révolution.
Éduquée et cultivée, Olympe de Gouges fréquente les salons, rencontre des hommes de lettres et se lance dans l’écriture, créant une troupe de théâtre aux accents politiques. Ainsi, en 1785, elle présente sa pièce L’esclavage des Noirs pour attirer l’attention sur le sort des esclaves et critiquer le Code Noir, alors en vigueur. Mais la représentation est interdite et la pièce manque d’envoyer Olympe à la Bastille ; la première représentation n’aura lieu qu’en 1789. Olympe écrira par la suite d’autres textes sur la situation des esclaves et deviendra membre de la Société des amis des Noirs.
Olympe écrit également de nombreux textes politiques, parmi lesquels ses « Remarques patriotiques » dans lesquels elle développe une série de réformes sociétales. En 1792, elle rejoint les Girondins et devient républicaine. Féministe, elle considère les femmes capables des tâches qu’on réserve aux hommes et se bat pour que les femmes soient associées aux débats politiques et de société. Sur le modèle de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle écrit une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne où elle affirme l’égalité des sexes, dans leurs droits civils et politiques. Elle écrit notamment : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ». Elle milite notamment pour l’instauration du divorce, la suppression du mariage religieux, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, la création de maternités et la création de foyers pour mendiants. Humaniste, elle se positionne contre l’exécution du roi et défend plus particulièrement Marie-Antoinette.
Comme Charlotte Corday, Olympe de Gouges est révoltée par les massacres des partisans et serviteurs du roi de septembre 1792. Elle s’en prend aux responsables et notamment à Jean-Pierre Marat, signataire d’une circulaire proposant d’étendre les massacres de prisonniers dans toute la France. Au printemps 1793, elle dénonce dans ses écrits les dérives de la Révolution et les risques de dictature. Le 6 août 1793, elle est arrêtée pour des écrits accusés de remettre en cause le principe républicain. Transférée devant le Tribunal révolutionnaire, elle est inculpée et condamnée à la peine de mort en novembre.
Le 3 novembre 1793, après avoir écrit une dernière lettre à son fils – qui sera interceptée -, Olympe de Gouges monte à l’échafaud. ses derniers mots sont : « Enfants de la Patrie vous vengerez ma mort. »
Elle reste une grande figure humaniste & féministe de la fin du 18ème siècle.
OLYMPE DE GOUGE
S
Née le 7 mai 1748 d’Anne Mouisset, Marie Gouze est déclarée fille de Pierre Gouze, boucher, bien que la rumeur fasse d’elle la fille adultérine du marquis Jean-Jacques Lefranc de Pompignan.
A 18 ans, Olympe est mariée à un Louis-Yves Aubry, un traiteur parisien sans doute client important de la boucherie familiale, dont elle a rapidement un fils, Pierre. Louis-Yves décède peu de temps après et Olympe, peu convaincue par cette expérience matrimoniale, ne se remariera jamais.
Avec son fils, elle part rejoindre une sœur à Paris ; elle y fait donner à Pierre une éducation soignée et adopte le nom d’ « Olympe de Gouges ». Elle rencontre un haut fonctionnaire de la marine, Jacques Biétrix de Rozières, avec qui elle a une liaison qui dure jusqu’à la Révolution.
Éduquée et cultivée, Olympe de Gouges fréquente les salons, rencontre des hommes de lettres et se lance dans l’écriture, créant une troupe de théâtre aux accents politiques. Ainsi, en 1785, elle présente sa pièce L’esclavage des Noirs pour attirer l’attention sur le sort des esclaves et critiquer le Code Noir, alors en vigueur. Mais la représentation est interdite et la pièce manque d’envoyer Olympe à la Bastille ; la première représentation n’aura lieu qu’en 1789. Olympe écrira par la suite d’autres textes sur la situation des esclaves et deviendra membre de la Société des amis des Noirs.
Olympe écrit également de nombreux textes politiques, parmi lesquels ses « Remarques patriotiques » dans lesquels elle développe une série de réformes sociétales. En 1792, elle rejoint les Girondins et devient républicaine. Féministe, elle considère les femmes capables des tâches qu’on réserve aux hommes et se bat pour que les femmes soient associées aux débats politiques et de société. Sur le modèle de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle écrit une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne où elle affirme l’égalité des sexes, dans leurs droits civils et politiques. Elle écrit notamment : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ». Elle milite notamment pour l’instauration du divorce, la suppression du mariage religieux, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, la création de maternités et la création de foyers pour mendiants. Humaniste, elle se positionne contre l’exécution du roi et défend plus particulièrement Marie-Antoinette.
Comme Charlotte Corday, Olympe de Gouges est révoltée par les massacres des partisans et serviteurs du roi de septembre 1792. Elle s’en prend aux responsables et notamment à Jean-Pierre Marat, signataire d’une circulaire proposant d’étendre les massacres de prisonniers dans toute la France. Au printemps 1793, elle dénonce dans ses écrits les dérives de la Révolution et les risques de dictature. Le 6 août 1793, elle est arrêtée pour des écrits accusés de remettre en cause le principe républicain. Transférée devant le Tribunal révolutionnaire, elle est inculpée et condamnée à la peine de mort en novembre.
Le 3 novembre 1793, après avoir écrit une dernière lettre à son fils – qui sera interceptée -, Olympe de Gouges monte à l’échafaud. ses derniers mots sont : « Enfants de la Patrie vous vengerez ma mort. »
Elle reste une grande figure humaniste & féministe de la fin du 18ème siècle.
OLYMPE DE GOUGE
S
Née le 7 mai 1748 d’Anne Mouisset, Marie Gouze est déclarée fille de Pierre Gouze, boucher, bien que la rumeur fasse d’elle la fille adultérine du marquis Jean-Jacques Lefranc de Pompignan.
A 18 ans, Olympe est mariée à un Louis-Yves Aubry, un traiteur parisien sans doute client important de la boucherie familiale, dont elle a rapidement un fils, Pierre. Louis-Yves décède peu de temps après et Olympe, peu convaincue par cette expérience matrimoniale, ne se remariera jamais.
Avec son fils, elle part rejoindre une sœur à Paris ; elle y fait donner à Pierre une éducation soignée et adopte le nom d’ « Olympe de Gouges ». Elle rencontre un haut fonctionnaire de la marine, Jacques Biétrix de Rozières, avec qui elle a une liaison qui dure jusqu’à la Révolution.
Éduquée et cultivée, Olympe de Gouges fréquente les salons, rencontre des hommes de lettres et se lance dans l’écriture, créant une troupe de théâtre aux accents politiques. Ainsi, en 1785, elle présente sa pièce L’esclavage des Noirs pour attirer l’attention sur le sort des esclaves et critiquer le Code Noir, alors en vigueur. Mais la représentation est interdite et la pièce manque d’envoyer Olympe à la Bastille ; la première représentation n’aura lieu qu’en 1789. Olympe écrira par la suite d’autres textes sur la situation des esclaves et deviendra membre de la Société des amis des Noirs.
Olympe écrit également de nombreux textes politiques, parmi lesquels ses « Remarques patriotiques » dans lesquels elle développe une série de réformes sociétales. En 1792, elle rejoint les Girondins et devient républicaine. Féministe, elle considère les femmes capables des tâches qu’on réserve aux hommes et se bat pour que les femmes soient associées aux débats politiques et de société. Sur le modèle de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle écrit une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne où elle affirme l’égalité des sexes, dans leurs droits civils et politiques. Elle écrit notamment : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ». Elle milite notamment pour l’instauration du divorce, la suppression du mariage religieux, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, la création de maternités et la création de foyers pour mendiants. Humaniste, elle se positionne contre l’exécution du roi et défend plus particulièrement Marie-Antoinette.
Comme Charlotte Corday, Olympe de Gouges est révoltée par les massacres des partisans et serviteurs du roi de septembre 1792. Elle s’en prend aux responsables et notamment à Jean-Pierre Marat, signataire d’une circulaire proposant d’étendre les massacres de prisonniers dans toute la France. Au printemps 1793, elle dénonce dans ses écrits les dérives de la Révolution et les risques de dictature. Le 6 août 1793, elle est arrêtée pour des écrits accusés de remettre en cause le principe républicain. Transférée devant le Tribunal révolutionnaire, elle est inculpée et condamnée à la peine de mort en novembre.
Le 3 novembre 1793, après avoir écrit une dernière lettre à son fils – qui sera interceptée -, Olympe de Gouges monte à l’échafaud. ses derniers mots sont : « Enfants de la Patrie vous vengerez ma mort. »
Elle reste une grande figure humaniste & féministe de la fin du 18ème siècle.
VALENTINA VLADIMIROVNA TERECHKOVA
Valentina Vladimirovna Terechkova est née le 6 mars 1937 à Maslennikovo.
Valentina est scolarisée de 10 à 17 ans. Lorsqu'elle quitte l'école, elle commence par travailler dans une usine de pneumatiques avant de devenir ouvrière dans la filature qui emploie déjà sa mère et sa sœur. Elle suit en parallèle des cours par correspondance à l’École technique de l'industrie légère et obtiendra un diplôme en 1960.
Valentina, jeune parachutiste et adhérente à la Jeunesse du parti communiste soviétique, n'a que dix-huit ans lorsqu'elle est sélectionnée parmi 400 femmes pour l'entrainement spatial coordonné par Youri Gagarine. A l'issue de cette préparation, elle s'envole dans l'espace. En 1963 à bord du Vosko 6, Valentina devient la première femme cosmonaute et la seule encore aujourd’hui à avoir réalisé un vol en solo… Du 16 au 19 juin 1963, elle effectue 48 orbites autour de la Terre en 70 heures et 41 minutes, celle que l'on connaissait alors sous le nom de code « La mouette » pulvérisera la durée totale des vols jusqu'alors réalisés par tous les astronautes américains de son époque.
Devenue un symbole pour le communisme soviétique et l’égalité hommes-femmes, Valentina Terechkova voulait retourner dans l’espace. Elle préparait son départ dans l’équipe de Youri Gagarine en 1968 mais il meurt subitement lors d’un accident. Les dirigeants, voulant éviter de perdre un autre fort symbole, empêcheront Valentina de voler à nouveau et faire du parachute.
Il faudra attendre 20ans pour qu’une deuxième femme, Svetlana Savitskaya, aille dans l’espace.
On dénombre aujourd’hui 64 femmes parmi les 562 personnes envoyées dans l'Espace (11,4 % ).
VALENTINA VLADIMIROVNA TERECHKOVA
Valentina Vladimirovna Terechkova est née le 6 mars 1937 à Maslennikovo.
Valentina est scolarisée de 10 à 17 ans. Lorsqu'elle quitte l'école, elle commence par travailler dans une usine de pneumatiques avant de devenir ouvrière dans la filature qui emploie déjà sa mère et sa sœur. Elle suit en parallèle des cours par correspondance à l’École technique de l'industrie légère et obtiendra un diplôme en 1960.
Valentina, jeune parachutiste et adhérente à la Jeunesse du parti communiste soviétique, n'a que dix-huit ans lorsqu'elle est sélectionnée parmi 400 femmes pour l'entrainement spatial coordonné par Youri Gagarine. A l'issue de cette préparation, elle s'envole dans l'espace. En 1963 à bord du Vosko 6, Valentina devient la première femme cosmonaute et la seule encore aujourd’hui à avoir réalisé un vol en solo… Du 16 au 19 juin 1963, elle effectue 48 orbites autour de la Terre en 70 heures et 41 minutes, celle que l'on connaissait alors sous le nom de code « La mouette » pulvérisera la durée totale des vols jusqu'alors réalisés par tous les astronautes américains de son époque.
Devenue un symbole pour le communisme soviétique et l’égalité hommes-femmes, Valentina Terechkova voulait retourner dans l’espace. Elle préparait son départ dans l’équipe de Youri Gagarine en 1968 mais il meurt subitement lors d’un accident. Les dirigeants, voulant éviter de perdre un autre fort symbole, empêcheront Valentina de voler à nouveau et faire du parachute.
Il faudra attendre 20ans pour qu’une deuxième femme, Svetlana Savitskaya, aille dans l’espace.
On dénombre aujourd’hui 64 femmes parmi les 562 personnes envoyées dans l'Espace (11,4 % ).
VALENTINA VLADIMIROVNA TERECHKOVA
Valentina Vladimirovna Terechkova est née le 6 mars 1937 à Maslennikovo.
Valentina est scolarisée de 10 à 17 ans. Lorsqu'elle quitte l'école, elle commence par travailler dans une usine de pneumatiques avant de devenir ouvrière dans la filature qui emploie déjà sa mère et sa sœur. Elle suit en parallèle des cours par correspondance à l’École technique de l'industrie légère et obtiendra un diplôme en 1960.
Valentina, jeune parachutiste et adhérente à la Jeunesse du parti communiste soviétique, n'a que dix-huit ans lorsqu'elle est sélectionnée parmi 400 femmes pour l'entrainement spatial coordonné par Youri Gagarine. A l'issue de cette préparation, elle s'envole dans l'espace. En 1963 à bord du Vosko 6, Valentina devient la première femme cosmonaute et la seule encore aujourd’hui à avoir réalisé un vol en solo… Du 16 au 19 juin 1963, elle effectue 48 orbites autour de la Terre en 70 heures et 41 minutes, celle que l'on connaissait alors sous le nom de code « La mouette » pulvérisera la durée totale des vols jusqu'alors réalisés par tous les astronautes américains de son époque.
Devenue un symbole pour le communisme soviétique et l’égalité hommes-femmes, Valentina Terechkova voulait retourner dans l’espace. Elle préparait son départ dans l’équipe de Youri Gagarine en 1968 mais il meurt subitement lors d’un accident. Les dirigeants, voulant éviter de perdre un autre fort symbole, empêcheront Valentina de voler à nouveau et faire du parachute.
Il faudra attendre 20ans pour qu’une deuxième femme, Svetlana Savitskaya, aille dans l’espace.
On dénombre aujourd’hui 64 femmes parmi les 562 personnes envoyées dans l'Espace (11,4 % ).
KUCO
KUCO est une marque de vêtements décontractée, "streetwear", aux valeurs féministes.
Pourquoi avoir créé KUCO ?
Parce qu'à la question quel est ton modèle féminin? on me répondait trop souvent "ma mère », parce que je voyais beaucoup trop de t-shirt avec une représentation dégradante des femmes, ou avec des messages que je pense faussement féministes, enfermant les femmes dans des clichés archaïques qui ramènent toujours la femme à son physique. Écrire féministe sur un T-shirt ne fait pas de vous une personne féministe.
Difficile de s’imaginer astronautes en tant que femme sans connaître Valentina Terechkova, Sally Ride, Claudie Haigneré.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers une mode écologique & éthique. Ce sont des femmes fortes, des femmes oubliées, des femmes réduites au silence, des femmes qui ne se taisent pas, des femmes qui surmontent leurs peurs et les préjugés, des femmes qui sont ce qu'elles veulent être au-delà des conventions.
L’objectif de KUCO est de leur rendre ce qui leur est dû, leur notoriété, comme on arbore une Rockstar sur un t-shirt, c’est cool… J'ai fait le choix d’un design épuré, sans visage pour permettre à chacun.e.s de s’identifier. Le poing levé rappelle la difficulté pour ces femmes d’être reconnues, leur persévérance, mais aussi que [le projet de justice sociale qui vise l’égalité entre femmes et hommes & l’émancipation vis-à-vis des normes de genre et de sexualité] est en cours et qu’il nous reste malheureusement encore beaucoup de chemins…
KUCO est l’acronyme de Keep Up - Carry On, cette répétition bien que fausse pour un anglophone est volontaire afin de marquer l’idée de persévérance. La persévérance nécessaire aux femmes pour être vues, entendues & reconnues.
KUCO
KUCO est une marque de vêtements décontractée, "streetwear", aux valeurs féministes.
Pourquoi avoir créé KUCO ?
Parce qu'à la question quel est ton modèle féminin? on me répondait trop souvent "ma mère », parce que je voyais beaucoup trop de t-shirt avec une représentation dégradante des femmes, ou avec des messages que je pense faussement féministes, enfermant les femmes dans des clichés archaïques qui ramènent toujours la femme à son physique. Écrire féministe sur un T-shirt ne fait pas de vous une personne féministe.
Difficile de s’imaginer astronautes en tant que femme sans connaître Valentina Terechkova, Sally Ride, Claudie Haigneré.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers une mode écologique & éthique. Ce sont des femmes fortes, des femmes oubliées, des femmes réduites au silence, des femmes qui ne se taisent pas, des femmes qui surmontent leurs peurs et les préjugés, des femmes qui sont ce qu'elles veulent être au-delà des conventions.
L’objectif de KUCO est de leur rendre ce qui leur est dû, leur notoriété, comme on arbore une Rockstar sur un t-shirt, c’est cool… J'ai fait le choix d’un design épuré, sans visage pour permettre à chacun.e.s de s’identifier. Le poing levé rappelle la difficulté pour ces femmes d’être reconnues, leur persévérance, mais aussi que [le projet de justice sociale qui vise l’égalité entre femmes et hommes & l’émancipation vis-à-vis des normes de genre et de sexualité] est en cours et qu’il nous reste malheureusement encore beaucoup de chemins…
KUCO est l’acronyme de Keep Up - Carry On, cette répétition bien que fausse pour un anglophone est volontaire afin de marquer l’idée de persévérance. La persévérance nécessaire aux femmes pour être vues, entendues & reconnues.
KUCO
KUCO est une marque de vêtements décontractée, "streetwear", aux valeurs féministes.
Pourquoi avoir créé KUCO ?
Parce qu'à la question quel est ton modèle féminin? on me répondait trop souvent "ma mère », parce que je voyais beaucoup trop de t-shirt avec une représentation dégradante des femmes, ou avec des messages que je pense faussement féministes, enfermant les femmes dans des clichés archaïques qui ramènent toujours la femme à son physique. Écrire féministe sur un T-shirt ne fait pas de vous une personne féministe.
Difficile de s’imaginer astronautes en tant que femme sans connaître Valentina Terechkova, Sally Ride, Claudie Haigneré.
KUCO représente des femmes inspirantes et met en avant des modèles féminins à travers une mode écologique & éthique. Ce sont des femmes fortes, des femmes oubliées, des femmes réduites au silence, des femmes qui ne se taisent pas, des femmes qui surmontent leurs peurs et les préjugés, des femmes qui sont ce qu'elles veulent être au-delà des conventions.
L’objectif de KUCO est de leur rendre ce qui leur est dû, leur notoriété, comme on arbore une Rockstar sur un t-shirt, c’est cool… J'ai fait le choix d’un design épuré, sans visage pour permettre à chacun.e.s de s’identifier. Le poing levé rappelle la difficulté pour ces femmes d’être reconnues, leur persévérance, mais aussi que [le projet de justice sociale qui vise l’égalité entre femmes et hommes & l’émancipation vis-à-vis des normes de genre et de sexualité] est en cours et qu’il nous reste malheureusement encore beaucoup de chemins…
KUCO est l’acronyme de Keep Up - Carry On, cette répétition bien que fausse pour un anglophone est volontaire afin de marquer l’idée de persévérance. La persévérance nécessaire aux femmes pour être vues, entendues & reconnues.
Scarface représente toutes les femmes victimes de violences. Que ces violences soient verbales, psychologiques, physiques, racistes, sexistes ou sexuelles… Qu’elles se déroulent dans la rue, au travail ou au domicile…
Peu importe l’impact, la cicatrice nous rappelle que ces violences systémiques n’ont pas lieu d’exister, ne devraient pas exister.
Scarface dit STOP, Scarface ne se tait plus.
Scarface représente toutes les femmes victimes de violences. Que ces violences soient verbales, psychologiques, physiques, racistes, sexistes ou sexuelles… Qu’elles se déroulent dans la rue, au travail ou au domicile…
Peu importe l’impact, la cicatrice nous rappelle que ces violences systémiques n’ont pas lieu d’exister, ne devraient pas exister.
Scarface dit STOP, Scarface ne se tait plus.
Scarface représente toutes les femmes victimes de violences. Que ces violences soient verbales, psychologiques, physiques, racistes, sexistes ou sexuelles… Qu’elles se déroulent dans la rue, au travail ou au domicile…
Peu importe l’impact, la cicatrice nous rappelle que ces violences systémiques n’ont pas lieu d’exister, ne devraient pas exister.
Scarface dit STOP, Scarface ne se tait plus.
FEMMES PIRATES
Il y a eu dans l’histoire un bon nombre de femmes pirates, téméraires, prêtes à tout défier pour demeurer libres. Certes elles ont été bien moins nombreuses que les hommes car même dans ce domaine, elles ont dû subir des discriminations.
FEMMES PIRATES
Il y a eu dans l’histoire un bon nombre de femmes pirates, téméraires, prêtes à tout défier pour demeurer libres. Certes elles ont été bien moins nombreuses que les hommes car même dans ce domaine, elles ont dû subir des discriminations.
FEMMES PIRATES
Il y a eu dans l’histoire un bon nombre de femmes pirates, téméraires, prêtes à tout défier pour demeurer libres. Certes elles ont été bien moins nombreuses que les hommes car même dans ce domaine, elles ont dû subir des discriminations.
Janis Joplin, est née le 19 janvier 1943 à Port Arthur (Texas), elle connaît une enfance difficile dans une famille de la classe moyenne installée dans le sud-est du Texas.
C’est à l’adolescence qu’elle décide de se mettre à la chanson après avoir écouté des artistes de blues comme Bessie Smith et Leadbelly. Elle étudie au Lamar State College of Technology, puis entre à l’université du Texas à Austin. Farouchement opposée à la ségrégation et refusant d’être une potiche parce qu’elle est née fille, Janis Joplin se fait régulièrement harceler par ses camarades de classe.
En 1963, Janis Joplin abandonne ses études, préférant chanter du folk et, surtout, du blues dans les clubs texans. Très vite, elle quitte le Texas pour San Francisco et commence à enregistrer ses premiers morceaux. Ses influences sont alors des chanteuses de blues et les écrivains de la Beat Generation. À cette époque, Janis consomme déjà beaucoup de drogues et d’alcool.Elle va s’imposer comme la première chanteuse de blues blanche des années 1960.
En 1966, sur la recommandation de l’impresario hippie Chet Helms, elle intègre Big Brother and The Holding Company un groupe de rock psychédélique très populaire dans la communauté hippie. Le groupe sortira deux albums et se produira énormément sur scène notamment au festival de Monterey qui sera leur performance la plus remarquée.
Après une aventure de trois ans, Janis Joplin quitte le groupe et forme le Kosmic Blues Band aux influences rythme & blues. Ils partiront en tournée en Europe et aux Etats-Unis et sortiront l’album I Got Dem Ol' Kozmic Blues Again Mama! mais fin 1969 le groupe se sépare.
Janis Joplin se sépare bientôt de Big Brother pour former le Kozmic Blues Band, dont l’album I Got Dem Ol’ Kozmic Blues Again Mama ! se classe à la cinquième place des meilleures ventes en 1969. Après sa participation au festival de Woodstock, le groupe se disperse.
En 1970, Janis Joplin s’entoure de musiciens canadiens et crée le Full Tilt Boogie Band. Le groupe part en tournée très vite et leurs performances sont très bien accueillies par le public. La même année ils commencent à enregistrer l’album Pearl qui sortira en 1971.
Janis accro à l’héroïne disparaît sans avoir la chance de fêter le succès de cet album qui sera le plus vendu de sa carrière. Elle est retrouvée morte d’une overdose, le 4 octobre 1970, dans un hôtel de Los Angeles.
En seulement trois années de carrière, Janis Joplin s’est imposée comme une icône du rock’n’roll. Une hippie au tempérament de feu et au féminisme affirmé, une chanteuse qui n’occultait pas ses pulsions autodestructrices.
Janis Joplin, est née le 19 janvier 1943 à Port Arthur (Texas), elle connaît une enfance difficile dans une famille de la classe moyenne installée dans le sud-est du Texas.
C’est à l’adolescence qu’elle décide de se mettre à la chanson après avoir écouté des artistes de blues comme Bessie Smith et Leadbelly. Elle étudie au Lamar State College of Technology, puis entre à l’université du Texas à Austin. Farouchement opposée à la ségrégation et refusant d’être une potiche parce qu’elle est née fille, Janis Joplin se fait régulièrement harceler par ses camarades de classe.
En 1963, Janis Joplin abandonne ses études, préférant chanter du folk et, surtout, du blues dans les clubs texans. Très vite, elle quitte le Texas pour San Francisco et commence à enregistrer ses premiers morceaux. Ses influences sont alors des chanteuses de blues et les écrivains de la Beat Generation. À cette époque, Janis consomme déjà beaucoup de drogues et d’alcool.Elle va s’imposer comme la première chanteuse de blues blanche des années 1960.
En 1966, sur la recommandation de l’impresario hippie Chet Helms, elle intègre Big Brother and The Holding Company un groupe de rock psychédélique très populaire dans la communauté hippie. Le groupe sortira deux albums et se produira énormément sur scène notamment au festival de Monterey qui sera leur performance la plus remarquée.
Après une aventure de trois ans, Janis Joplin quitte le groupe et forme le Kosmic Blues Band aux influences rythme & blues. Ils partiront en tournée en Europe et aux Etats-Unis et sortiront l’album I Got Dem Ol' Kozmic Blues Again Mama! mais fin 1969 le groupe se sépare.
Janis Joplin se sépare bientôt de Big Brother pour former le Kozmic Blues Band, dont l’album I Got Dem Ol’ Kozmic Blues Again Mama ! se classe à la cinquième place des meilleures ventes en 1969. Après sa participation au festival de Woodstock, le groupe se disperse.
En 1970, Janis Joplin s’entoure de musiciens canadiens et crée le Full Tilt Boogie Band. Le groupe part en tournée très vite et leurs performances sont très bien accueillies par le public. La même année ils commencent à enregistrer l’album Pearl qui sortira en 1971.
Janis accro à l’héroïne disparaît sans avoir la chance de fêter le succès de cet album qui sera le plus vendu de sa carrière. Elle est retrouvée morte d’une overdose, le 4 octobre 1970, dans un hôtel de Los Angeles.
En seulement trois années de carrière, Janis Joplin s’est imposée comme une icône du rock’n’roll. Une hippie au tempérament de feu et au féminisme affirmé, une chanteuse qui n’occultait pas ses pulsions autodestructrices.
Janis Joplin, est née le 19 janvier 1943 à Port Arthur (Texas), elle connaît une enfance difficile dans une famille de la classe moyenne installée dans le sud-est du Texas.
C’est à l’adolescence qu’elle décide de se mettre à la chanson après avoir écouté des artistes de blues comme Bessie Smith et Leadbelly. Elle étudie au Lamar State College of Technology, puis entre à l’université du Texas à Austin. Farouchement opposée à la ségrégation et refusant d’être une potiche parce qu’elle est née fille, Janis Joplin se fait régulièrement harceler par ses camarades de classe.
En 1963, Janis Joplin abandonne ses études, préférant chanter du folk et, surtout, du blues dans les clubs texans. Très vite, elle quitte le Texas pour San Francisco et commence à enregistrer ses premiers morceaux. Ses influences sont alors des chanteuses de blues et les écrivains de la Beat Generation. À cette époque, Janis consomme déjà beaucoup de drogues et d’alcool.Elle va s’imposer comme la première chanteuse de blues blanche des années 1960.
En 1966, sur la recommandation de l’impresario hippie Chet Helms, elle intègre Big Brother and The Holding Company un groupe de rock psychédélique très populaire dans la communauté hippie. Le groupe sortira deux albums et se produira énormément sur scène notamment au festival de Monterey qui sera leur performance la plus remarquée.
Après une aventure de trois ans, Janis Joplin quitte le groupe et forme le Kosmic Blues Band aux influences rythme & blues. Ils partiront en tournée en Europe et aux Etats-Unis et sortiront l’album I Got Dem Ol' Kozmic Blues Again Mama! mais fin 1969 le groupe se sépare.
Janis Joplin se sépare bientôt de Big Brother pour former le Kozmic Blues Band, dont l’album I Got Dem Ol’ Kozmic Blues Again Mama ! se classe à la cinquième place des meilleures ventes en 1969. Après sa participation au festival de Woodstock, le groupe se disperse.
En 1970, Janis Joplin s’entoure de musiciens canadiens et crée le Full Tilt Boogie Band. Le groupe part en tournée très vite et leurs performances sont très bien accueillies par le public. La même année ils commencent à enregistrer l’album Pearl qui sortira en 1971.
Janis accro à l’héroïne disparaît sans avoir la chance de fêter le succès de cet album qui sera le plus vendu de sa carrière. Elle est retrouvée morte d’une overdose, le 4 octobre 1970, dans un hôtel de Los Angeles.
En seulement trois années de carrière, Janis Joplin s’est imposée comme une icône du rock’n’roll. Une hippie au tempérament de feu et au féminisme affirmé, une chanteuse qui n’occultait pas ses pulsions autodestructrices.
MARIE MARVINGT
Pionnière de l'aviation, sportive, inventrice, infirmière et journaliste française, bardée de records, de médailles à ski, tir, alpinisme, ballon...Marie Marvingt, surnommée la fiancée du danger, fût la première femme à avoir fait le Tour de France en 1908, malgré le refus des organisateurs, sur les 114 coureurs, 36 seulement arriveront…et Marie✊
En 1914 , alors que l'armée est encore interdite aux femmes, Marie Marvingt se déguise en homme, après 47 jours cumulés en première ligne, son identité est démasquée, elle est autorisée à retourner sur le front en tant qu'infirmière et correspondante de guerre.
À plus de 80 ans, elle pédale 10 heures par jour pour un ultime Nancy-Paris à vélo, et passe son brevet d'hélicoptère.
"Ma vitalité me permet d’être aussi jeune que dans ma jeunesse", dira-t-elle.
MARIE MARVINGT
Pionnière de l'aviation, sportive, inventrice, infirmière et journaliste française, bardée de records, de médailles à ski, tir, alpinisme, ballon...Marie Marvingt, surnommée la fiancée du danger, fût la première femme à avoir fait le Tour de France en 1908, malgré le refus des organisateurs, sur les 114 coureurs, 36 seulement arriveront…et Marie✊
En 1914 , alors que l'armée est encore interdite aux femmes, Marie Marvingt se déguise en homme, après 47 jours cumulés en première ligne, son identité est démasquée, elle est autorisée à retourner sur le front en tant qu'infirmière et correspondante de guerre.
À plus de 80 ans, elle pédale 10 heures par jour pour un ultime Nancy-Paris à vélo, et passe son brevet d'hélicoptère.
"Ma vitalité me permet d’être aussi jeune que dans ma jeunesse", dira-t-elle.
MARIE MARVINGT
Pionnière de l'aviation, sportive, inventrice, infirmière et journaliste française, bardée de records, de médailles à ski, tir, alpinisme, ballon...Marie Marvingt, surnommée la fiancée du danger, fût la première femme à avoir fait le Tour de France en 1908, malgré le refus des organisateurs, sur les 114 coureurs, 36 seulement arriveront…et Marie✊
En 1914 , alors que l'armée est encore interdite aux femmes, Marie Marvingt se déguise en homme, après 47 jours cumulés en première ligne, son identité est démasquée, elle est autorisée à retourner sur le front en tant qu'infirmière et correspondante de guerre.
À plus de 80 ans, elle pédale 10 heures par jour pour un ultime Nancy-Paris à vélo, et passe son brevet d'hélicoptère.
"Ma vitalité me permet d’être aussi jeune que dans ma jeunesse", dira-t-elle.
CLEMENTINE DELAIT
Clémentine Delait naît le 5 mars 1865 à Chaumousey, dans le département des Vosges, de parents agriculteurs. Son enfance est marquée par les travaux des champs. À partir de la puberté, sa pilosité commence à se développer plus que la normale, elle commence alors à se raser régulièrement.
Le 25 avril 1885, à vingt ans, elle épouse à Chaumousey Joseph Delait, boulanger à Thaon-les-Vosges, et sert les clients de la boulangerie.
Cependant, Joseph ne pouvant pas continuer son métier de boulanger, le couple ouvre alors un débit de boisson et Clémentine est derrière le comptoir à servir les clients. Tout comme à la boulangerie, la clientèle est alors nombreuse. Femme de caractère et charpentée, Clémentine est apte à tenir son bar et à en sortir les clients turbulents.
C'est en 1901 à Thaon-les-Vosges suite à un pari avec un client du troquet, que Clémentine Delait laisse pousser sa barbe qu'elle rasait chaque jour depuis sa puberté. C'est un succès, L’estaminet est rebaptisé « Café de la femme à barbe » et la clientèle décuple. On vient de tous les environs et même de Nancy pour admirer la patronne velue et rire des injures que Coco, son perroquet, lance aux clients…
Cette barbe, Clementine Delait la conservera jusqu'à son dernier souffle.
Sa célébrité prend une ampleur nationale lorsqu'elle s'enrôle dans la Croix-Rouge durant la Première Guerre mondiale et devient la mascotte des Poilus.
Au lendemain de la guerre, le couple accompagné de Fernande, une orpheline de guerre adoptée à cinq ans, ouvre une mercerie à Plombières, Joseph étant trop malade pour tenir à nouveau un bar. Comme lors de ces précédents métiers, la clientèle se presse. C'est à cette période que Phineas Taylor Barnum, le célèbre directeur de cirque spécialisé dans les phénomènes de foire, propose à Clémentine de le rejoindre pour la somme de trois millions de francs, offre qu'elle décline. Devenue veuve en 1928, Clémentine se consacre désormais pleinement à sa célébrité tout en rouvrant un bar à Thaon-les-Vosges. Là, elle propose des spectacles de cabaret dont elle est la vedette, déguisée et accompagnée de sa fille et d'un perroquet. Les clients viennent alors de la France entière et même d'Angleterre et d'Irlande pour la voir.
Appréciée de tous pour sa gentillesse et sa douceur, courtisée mais toujours fidèle à son mari qu'elle aima toute sa vie, pêcheuse de brochets gigantesques, redoutée des lions, forte comme un Hercule, redresseuse de torts dans le petit monde des ivrognes... Clémentine Delait décèdera à Épinal le 19 avril 1939 d'une crise cardiaque.
Son épitaphe, comme elle l'a souhaité, est2 :
« Ici gît Clémentine Delait, la Femme à Barbe »
Clémentine Delait fut un personnage, et quel personnage. 😍
CLEMENTINE DELAIT
Clémentine Delait naît le 5 mars 1865 à Chaumousey, dans le département des Vosges, de parents agriculteurs. Son enfance est marquée par les travaux des champs. À partir de la puberté, sa pilosité commence à se développer plus que la normale, elle commence alors à se raser régulièrement.
Le 25 avril 1885, à vingt ans, elle épouse à Chaumousey Joseph Delait, boulanger à Thaon-les-Vosges, et sert les clients de la boulangerie.
Cependant, Joseph ne pouvant pas continuer son métier de boulanger, le couple ouvre alors un débit de boisson et Clémentine est derrière le comptoir à servir les clients. Tout comme à la boulangerie, la clientèle est alors nombreuse. Femme de caractère et charpentée, Clémentine est apte à tenir son bar et à en sortir les clients turbulents.
C'est en 1901 à Thaon-les-Vosges suite à un pari avec un client du troquet, que Clémentine Delait laisse pousser sa barbe qu'elle rasait chaque jour depuis sa puberté. C'est un succès, L’estaminet est rebaptisé « Café de la femme à barbe » et la clientèle décuple. On vient de tous les environs et même de Nancy pour admirer la patronne velue et rire des injures que Coco, son perroquet, lance aux clients…
Cette barbe, Clementine Delait la conservera jusqu'à son dernier souffle.
Sa célébrité prend une ampleur nationale lorsqu'elle s'enrôle dans la Croix-Rouge durant la Première Guerre mondiale et devient la mascotte des Poilus.
Au lendemain de la guerre, le couple accompagné de Fernande, une orpheline de guerre adoptée à cinq ans, ouvre une mercerie à Plombières, Joseph étant trop malade pour tenir à nouveau un bar. Comme lors de ces précédents métiers, la clientèle se presse. C'est à cette période que Phineas Taylor Barnum, le célèbre directeur de cirque spécialisé dans les phénomènes de foire, propose à Clémentine de le rejoindre pour la somme de trois millions de francs, offre qu'elle décline. Devenue veuve en 1928, Clémentine se consacre désormais pleinement à sa célébrité tout en rouvrant un bar à Thaon-les-Vosges. Là, elle propose des spectacles de cabaret dont elle est la vedette, déguisée et accompagnée de sa fille et d'un perroquet. Les clients viennent alors de la France entière et même d'Angleterre et d'Irlande pour la voir.
Appréciée de tous pour sa gentillesse et sa douceur, courtisée mais toujours fidèle à son mari qu'elle aima toute sa vie, pêcheuse de brochets gigantesques, redoutée des lions, forte comme un Hercule, redresseuse de torts dans le petit monde des ivrognes... Clémentine Delait décèdera à Épinal le 19 avril 1939 d'une crise cardiaque.
Son épitaphe, comme elle l'a souhaité, est2 :
« Ici gît Clémentine Delait, la Femme à Barbe »
Clémentine Delait fut un personnage, et quel personnage. 😍
CLEMENTINE DELAIT
Clémentine Delait naît le 5 mars 1865 à Chaumousey, dans le département des Vosges, de parents agriculteurs. Son enfance est marquée par les travaux des champs. À partir de la puberté, sa pilosité commence à se développer plus que la normale, elle commence alors à se raser régulièrement.
Le 25 avril 1885, à vingt ans, elle épouse à Chaumousey Joseph Delait, boulanger à Thaon-les-Vosges, et sert les clients de la boulangerie.
Cependant, Joseph ne pouvant pas continuer son métier de boulanger, le couple ouvre alors un débit de boisson et Clémentine est derrière le comptoir à servir les clients. Tout comme à la boulangerie, la clientèle est alors nombreuse. Femme de caractère et charpentée, Clémentine est apte à tenir son bar et à en sortir les clients turbulents.
C'est en 1901 à Thaon-les-Vosges suite à un pari avec un client du troquet, que Clémentine Delait laisse pousser sa barbe qu'elle rasait chaque jour depuis sa puberté. C'est un succès, L’estaminet est rebaptisé « Café de la femme à barbe » et la clientèle décuple. On vient de tous les environs et même de Nancy pour admirer la patronne velue et rire des injures que Coco, son perroquet, lance aux clients…
Cette barbe, Clementine Delait la conservera jusqu'à son dernier souffle.
Sa célébrité prend une ampleur nationale lorsqu'elle s'enrôle dans la Croix-Rouge durant la Première Guerre mondiale et devient la mascotte des Poilus.
Au lendemain de la guerre, le couple accompagné de Fernande, une orpheline de guerre adoptée à cinq ans, ouvre une mercerie à Plombières, Joseph étant trop malade pour tenir à nouveau un bar. Comme lors de ces précédents métiers, la clientèle se presse. C'est à cette période que Phineas Taylor Barnum, le célèbre directeur de cirque spécialisé dans les phénomènes de foire, propose à Clémentine de le rejoindre pour la somme de trois millions de francs, offre qu'elle décline. Devenue veuve en 1928, Clémentine se consacre désormais pleinement à sa célébrité tout en rouvrant un bar à Thaon-les-Vosges. Là, elle propose des spectacles de cabaret dont elle est la vedette, déguisée et accompagnée de sa fille et d'un perroquet. Les clients viennent alors de la France entière et même d'Angleterre et d'Irlande pour la voir.
Appréciée de tous pour sa gentillesse et sa douceur, courtisée mais toujours fidèle à son mari qu'elle aima toute sa vie, pêcheuse de brochets gigantesques, redoutée des lions, forte comme un Hercule, redresseuse de torts dans le petit monde des ivrognes... Clémentine Delait décèdera à Épinal le 19 avril 1939 d'une crise cardiaque.
Son épitaphe, comme elle l'a souhaité, est2 :
« Ici gît Clémentine Delait, la Femme à Barbe »
Clémentine Delait fut un personnage, et quel personnage. 😍
ANGELA DAVIS
ANGELA DAVIS
ANGELA DAVIS